Peut-être est-ce à force de rester debout devant la fenêtre. Je ne regarde pas toujours les gens. Il y a beaucoup d'autres choses. La lumière qui transforme un mur, la manière dont les arbres bougent... Et comment tout se confond peu avant qu'il fasse nuit. C'est alors que c'est le plus beau, car on peut courir après les ombres de sa tête.