Le dernier bonheur est le premier volume de la chronique du village de Soledad. À l'heure de la démocratie, les anciens de Soledad regrettent parfois le temps de Franco et résistent aux changements, dans une atmosphère mêlée de traditions, de couardise et d'une certaine hypocrisie. La vieille Sarah est mal comprise de ses compagnes, qui parlent d'elle sans relâche dès qu'elle a le dos tourné. Marco revient après quinze ans d'absence et perd ses illusions. Adolfo ne peut plus vivre avec sa conscience... Le dernier bonheur est l'occasion d'une incursion dans un monde étrange, hors du temps, presque figé et pourtant animé de toutes les passions.