Echoués sur Rubanis pour cause d’astronef en panne (et sans l’ombre des 700 000 bloutoks nécessaires à sa réparation), Valérian et Laureline cherchent à savoir qui détient le pouvoir sur cette planète. Et s’il appartenait, tout simplement, aux médias ? Une critique cinglante de la « télécratie », pouvoir ultime qui se suffit à lui-même et se joue de tous les autres.