Percevan est entré sur le territoire des contes pour rejoindre la tour où est enfermé le 7e sceau, celui qui permet de détruire l'univers, de le faire renaître... et d'en rester seul maître. Notre héros est l'ultime recours contre les ambitions démesurées du mystérieux chevalier noir, mais en voulant sauver le monde, ne sert-il pas la machination implacable de cet être démoniaque ?
Encore plus brillant qu'à l'accoutumée, ce second épisode clôt en beauté un merveilleux diptyque où Luguy nous régale de son dessin arachnéen, à l'aune d'un scénario « apocalyptique » de Jean Léturgie.