Des conflits ethniques, des manipulations génétiques, un seigneur de la guerre qui prétend justement « faire la guerre à la guerre » (« un concept sophistiqué mais intéressant », selon monsieur Albert) : il faut de tout pour réussir un album de Valérian. Et même un Schniarfeur de Bromn, espèce inconnue jusqu'alors, quelque peu insupportable mais parfois bien utile...