«It's good to be the king», comme disait le poète Mel Brooks. Et le roi Garfield n'a pas fini d'en profiter avec ce nouveau tome plein de gags et de fureur (ah non, en fait seulement plein de gags). Sa jungle est un salon, son trône un vieux fauteuil confortable, son sceptre une télécommande et sa devise «mon royaume pour une lasagne». Et si sa cour n'est composée que d'un pauvre fou (Jon), d'un chien stupide (Odie), et d'un chat trop mignon pour être honnête (Nermal), c'est toujours un Garfield en majesté, égal à lui-même, cynique et gras, comme on l'aime.