Tout comme la 35e Symphonie de Mozart, dont elle s’inspire, cette bande dessinée légère et gaie, est empreinte d’une discrète mélancolie. Entre peur et soulagement, le jeune héros est entrainé dans un rêve intense, qui prendra tout son sens à son réveil. Dans la tristesse, l’émerveillement surgit. La nuit éclaire le jour qui suit.