L’humanité est moche. L’homme exploite les animaux comme de vulgaires objets de consommation que l’on peut jeter sans états d’âme. Même s’il est rassasié, il continue de tuer plus que de raison.
Berth n’en est pas fier, mais avec humour et à sa manière, il nous fait prendre conscience de l’absurdité dont nous sommes les auteurs.