Adieu, Kôsuke. Tels furent les derniers mots de Koto Kisaragi avant de partir. Si je pars à sa recherche, je pourrai sauver cette personne chère à mon coeur. Mais si je pars, je blesserai une autre personne chère à mon coeur. Tout n'est pas zéro ou cent. Tout n'est pas noir ou blanc. Dans ce dégradé de nuances allant de la normalité à l'anormalité, comment savoir où placer le curseur ?