« La vie est belle malgré tout » disait la mère de Seth à son fils. C'est le titre de cette autobiographie désabusée, par un auteur nostalgique, né à la mauvaise époque et que la modernité désespère. Ayant découvert Kalo, un dessinateur des années 1950 dont le trait ressemble étrangement au sien, Seth part à sa recherche et ne découvre que 11 dessins de l'artiste...