Sarh, 1984. Kandji, sept ans, s'émerveille devant une peinture accrochée au mur du salon. Ebloui par la scène et les couleurs du paysage, il se fait la promesse de devenir peintre alors que le Tchad traverse une des périodes les plus violentes de son histoire. Djarabane, « Que faire » en langue Sara, est une réflexion sur l'exil et la place des rêves d'enfants dans un contexte politique précaire.