Après plusieurs projets à destination des personnes détenues, Sandra Ndiaye décide de travailler au quotidien dans une maison d'arrêt. L'espace d'un an elle y organise des ateliers artistiques et culturels. Mais son action est fragile car elle dépend de la qualité des relations humaines, rapports rendus difficiles au sein d'une institution dont le rôle semble devoir se limiter à celui de punir.