Depuis son accession à la Chancellerie, le führer Adolf Hitler a fait de la compétition automobile un emblème de « son » Allemagne, insolente et conquérante. Mais s'il a été relativement aisé d'entraîner les constructeurs dans cet « effort de guerre » avant l'heure, les pilotes s'accommodent mal d'une autorité autre que celle du volant. Alors qu'adviendra-t-il de Bernd Rosemeyer, étoile montante des circuits, mais esprit libre et orgueilleux, volontiers insolent à l'égard du régime...?