« Ce livre n’est pas sur Timothée Chalamet, le sex-symbol le plus maigrichon et imberbe qu’Hollywood ait jamais connu, mais sur ce qu’il représente : la libération de la mode et des corps masculins, la ringardisation du bad boy, l’émergence d’hommes qui se fichent d’être de “vrais hommes” et se montrent sensibles, humbles, à l’écoute… Peuvent-ils nous libérer du patriarcat ? »
Dans ce livre entre étude d’un phénomène de la pop culture, enquête journalistique et essai personnel, Aline Laurent-Mayard interroge avec drôlerie et beaucoup d’esprit le rapport que nous entretenons avec la masculinité, avec les normes de genre et la binarité. Que l’on soit homme, femme, non-binaire, une chose est certaine : face aux injonctions sociétales, tout le monde gagnerait à se sentir plus libre.
« Dans un essai drôle et documenté intitulé Libérés de la masculinité, la journaliste Aline Laurent-Mayard s'interroge sur sa fascination pour Timothée Chalamet, antithèse du bad boy. » Clément Boutin, Causette
« Cette nouvelle masculinité, ou figure de l'homme nouveau, c'est d'ailleurs ce qu'analyse la journaliste Aline Laurent-Mayard dans un passionnant essai. » Clément Arbrun, Terra Femina
« De l’attitude de Timothée Chalamet en interview à son dresscode décomplexé sur les tapis rouges, la journaliste et autrice nous embarque, avec Libérés de la masculinité, comment Timothée Chalamet m’a fait croire à l’homme nouveau, dans une passionnante odyssée des masculinités au royaume de la pop culture. » Faustine Kopiejwski, Cheek
« Dans un essai intitulé « Libérés de la masculinité : Comment Timothée Chalamet m’a fait croire à l’homme nouveau », la journaliste Aline Laurent-Mayard dissèque tout en nuances l’image sensible et moins virile proposée par l’acteur hollywoodien. » Huffington Post, Valentin Etancelin
« Dans son récent essai Libérés de la masculinité. Comment Timothée Chalamet m ’a fait croire à l’homme nouveau, l’auteure Aline Laurent-Mayard interroge, en partant du phénomène médiatique « Timmy Chalamet », l’émergence de nouvelles masculinités contemporaines, plus libérées et plus sensibles. » Madame Figaro