Reynolds est un effaceur, un tueur à gages si vous préférez. Son métier est simple. On l'engage pour un contrat et il doit simplement tuer la personne en question. Et le pire c'est qu'il fait ça bien, en petit chef d'entreprise, la Eraser limited, avec sa petite secrétaire, Virginia. Il a toute une gamme de forfaits au service de ses clients. Et justement, à cause de son forfait « Last Will » (dernière volonté), il lui arrive une sacrée tuile : chargé d'éliminer Monsieur Cantino, la future victime demande à Reynolds comme dernière volonté d'adopter Quentin, son fils... Reynolds se retrouve père d'un grand dadais fan de Frank Sinatra qui l'appelle papatron et qui va le seconder dans son job d'effaceur. Il sera le nettoyeur, chargé de faire disparaître les traces des actions de son père adoptif. Mais il en a vite marre du sale boulot, il veut lui aussi se marrer et buter un mec...
Nouvelle série de gags en une planche qui voit déjà paraître son second volume en moins de six mois, L'Effaceur est terriblement drôle. Et si jamais vous ne riez pas à la lecture de cet album, gare à vous... Vous risquez de prendre une balle perdue...