La banlieue, les copains, les bandes rivales, les bagarres, les fous rires, la musique, les filles, les amours, c'est tout ça, Tous à Matha. Jean-C. Denis y montre un sens inégalé du récit, où comme l'écrit Saul Bellow, "il forge l'archétype de ses héros, introspectifs et tourmentés, qui tous vivent les aventures tragi-comiques d'un quotidien dérisoire."