Dans ce dernier chapitre de la série consacrée à sa ville natale, Will Eisner pose un regard sur la foule et les visages anonymes qui la composent ; ces "gens invisibles" avec qui nous partageons, au mieux, une totale indifférence. Réunis autour d'une narration subtile et ironique, les trois récits qui composent ce roman graphique donnent vie à ces inconnus qui peuplent notre quotidien.