Ce deuxième et dernier tome de L'Ecorché s'ouvre dans les années 20 par ce dialogue :- Monsieur Paulin... Excusez mon beau-frère : il n'a pas la moindre idée de ce qui vous liait vraiment
aux Maraval...
- Parce que vous, Monsieur Dubreuil, vous le savez?
- C'est-à-dire...
Et nous voilà de retour vingt ans auparavant pour tâcher de comprendre comment, à l'orée du XXe siècle, Tristan Paulin, un peintre souffrant d'une difformité qui lui fait porter en permanence un masque sur le bas du visage, survit aux assauts du destin : le mystère sur sa naissance sert de fonds de commerce à un maître-chanteur, qui n'est autre que Valère, son "meilleur" ami ; ses parents, d'anciens communards, sont morts assassinés ; et Mathilde Maraval, la belle galeriste, se refuse à lui...