"Bonjour, monde cruel !" c'est sur cette invite que Geerts le timide entrouvre la porte de son monde. Un monde impressionniste et nostalgique qu'il bâtit par petites touches de lumières. Un monde où les tranches de vie sont brossées en sfumato et où l'école et la famille, les voisins, les vieux ou la psychanalyse sont croqués avec un humour moucheté et pourtant décapant.