«Je suis un pauvre fossoyeur.» Pierre Tombal pourrait presque reprendre à son compte ce refrain de Brassens, si ce n’est que sa vie n’a rien de triste. Aux petits soins pour ses turbulents pensionnaires, il dialogue avec eux et fait règner un ordre bon enfant dans le cimetière dont il a la charge. Une seule chose l’agace : qu’on lui parle de crémation. Grand Prix de l’Humour Noir 2000.