En 1958, douze ans avant de créer "Sammy", Berck lança dans le journal "Tintin", ce brave taximan qui récolte plus de déboires que de pourboires. Strapontin doit son nom à Goscinny, le scénariste de ses courses désopilantes. C'était le nom que les Parisiens donnaient aux émigrés russes qui, ayant fui la Révolution de 1917, s'étaient reconvertis en chauffeurs de maîtres. Au gré de ses clients plus farfelus les uns que les autres (dont l'excentrique Miss Thompson), Strapontin a ainsi vécu tous azimuts, un tas d'aventures rocambolesques.