Il a un job correct, un mariage aussi heureux que possible après 16 ans de vie commune, des enfants assez aimants... Une vie moyenne, réglée comme du papier à musique d'ascenseur. Alors, faute de ressentir ou de s'exalter, il pense. A la mort, principalement. A la vacuité de ces vies ni bonnes ni mauvaises, qui jouent la partition sans se poser de question. Il est l'homme du XXIe siècle. Et il se laisse un mois, pour voir...