« - Une nuit au Vietnam, un mec de mon unité a complètement disjoncté. Il a chopé un M16 et il a tué trois de mes hommes. - Il était shooté ? - Je crois, ouais. Ils l’ont emmené dans un hôpital à Saïgon mais on a perdu sa trace. La dernière chose qu’il m’ait dite avant de disparaître, c’est… « Banana Fish ». - Intéressant mais… si quelqu’un ou une organisation de ce nom existe, on aurait dû en entendre parler depuis le temps, non ? » Ainsi commence Banana Fish…
« Un chef d’œuvre qu’on se doit de lire… » - Manga-News
« Aucun tabou n’est écarté dans ce thriller époustouflant qui égratigne l’Amérique : trafic de drogue menant à un complot au plus haut niveau de l’état, prostitution enfantine, meurtres en série… » (Actua BD)
La mangaka Akimi Yoshida emprunte les codes des différents genres des manga, rendant ainsi son œuvre universelle. C’est sans aucun doute cette singularité qui participe à son immense succès au Japon et à l’engouement des critiques qui sont toutes dithyrambiques.