Comme l'indique son titre, madame Goldgruber n'apparaît pas dans ce second volet des mésaventures autobiographiques et artistiques de Mahler. Il nous livre ici une seconde somme d'anecdotes vécues dans le milieu de l'Art autrichien et international. Aux microcosmes de la Bande Dessinée et de l’Art contemporain s’ajoute celui du dessin animé, que Mahler a eu l’occasion de fréquenter assidûment ces dernières années (Flaschko fut primé à plusieurs occasions). Grâce au détachement et à la causticité qui lui sont propres, les perles recueillies par Mahler accèdent instantanément au statut de scènes d’anthologie.