Voyant sa maison s’engloutir dans le sol, Frank va se retrouver à accomplir un étrange travail d’usine pour en payer la reconstruction, puis subir une longue dérive, subaquatique ou souterraine, faite de métamorphoses et de menaces en tous genres. Cinquième volume de Frank à paraître à L’Association, Le Congrès des Bêtes montre une fois de plus l’aptitude de Jim Woodring à concrétiser son univers imaginaire et hallucinatoire, “cadeau énigmatique d’un homme à un monde énigmatique”, selon les termes de Francis Ford Coppola (préface à Frank 2).