Eggman repeint le paysage afin qu’il soit conforme au tableau. Eggman se cogne au plafond de la case. Eggman laisse sa place à une mouche sur un banc public. L’oiseau laisse sa branche à Eggman. Les dés à jouer perdent leurs points. Eggman change sa fenêtre de place pour profiter d’une autre vue. Les chaises se déplacent, et des branchages poussent du bois dont elles sont constituées… Après I am the Eggman, l’attachant petit bonhomme à la forme d’œuf revient pour de nouvelles facéties visuelles, à la fois douces et absurdes. Entre les dessins à la ligne claire, s’intercalent d’énigmatiques peintures bleutées dont Eggman est, là encore et à son insu, le héros. À mettre dans toutes les poches et entre toutes les mains !