Par une brèche dans un mur, une foule de plusieurs centaines de personnes pénètre dans le « jardin » et découvre peu à peu ce vaste territoire interdit constitué d’une succession de paysages artificiels animés de mouvements automatisés. Le jardin est un décor désert, habité uniquement de dispositifs mécaniques, de cliquetis, de chocs et de grincements, un lieu sans orientation ni logique qui paraît généré au fur et à mesure de la curiosité qu’il suscite. Un lieu probablement sans fin, voué à l’inouï, à l’extraordinaire, à l’invention…