Peintre de l’imaginaire, Julien Delval expose dans cette monographie ses peintures les plus spectaculaires. Des paysages aériens aux ruines silencieuses, des forêts où l’on surprend des animaux de passage, des guerriers sur leur drakkar voguant vers leurs prochaines conquêtes… Pour citer l’écrivain Mathieu Gaborit : « Chez Julien Delval, la lumière a force de mélancolie. Il nous parle d’un âge d’or révolu, un âge d’ocre aux vertiges antiques. » Cet ouvrage va d’abord voir le jour grâce à un financement participatif qui aura lieu de la mi-juin à début juillet.